Une équipe de jeux aux passes moins fuides et rapides ne saurait surprendre et presser l’adversaire.Céci est plus que visible.Lorsque la défense relance le milieu avec les flancs,les passes sont si lisibles et prévisibles et moins rapides.Que leur interception pourraient être automatique si l’adversaire est bien attentive et concentré.
Célà se lit bien par la repreprise en main du jeu par les léopards du Congo et les lions de la téranga. La moindre passe pour lancer son coéquipier ou combiner est aussitôt bloquée et récupérée.
Sans omettre le manque d’agressivité de nos joueurs pour presser et récupérer ou contrecarrer toute velléité offensive de nos adversaires.Les lions indomptables du Cameroun ont gardé le ballon sous les pieds plus d’une heure et demie.Le Sénégal plus de vingt-cinq minutes au moins.
Sans aussi oublier un facteur compétitif très important le “physique” très indispensable aux duels et conservations du ballon.ils n’en supportaient pas les charges répétitives et prolongées.c’était visible contre le Cameroun et le Sénégal aussi le Congo.Les images où deux de nos joueurs s’écroulant lors de la prémière mi-temps contre le Congo sont très bien un cliché imlustratif de ce fait.
Pour reussir notre compétition à chaque fois nous avions besoin de résoudre ces déficiences.
Kabinet Diallo